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QU’EST CE QUE ÊTRE KAMITE ?

QU’EST CE QUE ÊTRE KAMITE ?

Par Nahimana Karolero, 2023

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KAMA - Source de l’image : https://ladepechedabidjan.info/2021/11/20/kama-le-veritable-nom-de-lafrique/
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Qu’est ce que être Kamite ? – est le titre d’un livre du Professeur OMUTUNDE [1]. Voici sa réponse à cette question :

C’est être de ceux qui ont choisi de faire des expériences humaines et du savoir de leurs ancêtres africains, le centre référentiel de leur pensée et de leur paradigme. En étudiant nos Humanités Classiques Kamites et en nous réorientant vers notre continent, il s’agit pour nous d’affirmer notre volonté à être les dignes fils et filles des guides de l’humanité qui ont vécu en Afrique noire, à l’aube de la civilisation[2].

L’APPROCHE ADOPTÉE À TRAVERS CES QUELQUES LIGNES DE TEXTES TENTE DE DÉFINIR LE KAMITE ET LE KAMITISME, PERMETTANT DE COMPRENDRE LA TRAJECTOIRE INTELLECTUELLE NÉCESSAIRE POUR UN INDIVIDU DÉSIRANT SE RÉCLAMER DE CE COURANT SOCIOLOGIQUE. IL EST IMPORTANT DE PARCOURIR LES MULTIPLES ANNOTATIONS QUI FERONT DÉCOUVRIR DE TRÈS NOMBREUSES BIBLIOGRAPHIES INTÉRESSANTES, DONNANT DES IDÉES DE PROCHAINES LECTURES.

Un(e) KAMITE est un individu dont le continent d’origine, berceau de l’Humanité et des civilisations, est L’AFRIQUE, un nom exogène colonial dont il décide de changer, en empruntant le nom donné dans LA PREMIÈRE ÉCRITURE AYANT EXISTÉ AU MONDE MEDU NETJER – , AFRIQUE devenant – KAMA [3],- comme ses ancêtres d’autrefois l’appelaient il y a 5.223 ans en EGYPTE ANCIENNEKEMET [4] , LA PLUS ANCIENNE ET LA PLUS GRANDE CIVILISATION , À CE JOUR, QUE LE MONDE N’AIT JAMAIS CONNU.

Cet individu en question, par cette prise de position, entre dans le KAMITISME , courant sociologique contemporain dont les membres se réclament comme étant KAMITE. Il se met dans un processus PANAFRICAIN, KEMITE, POST-COLONIAL : AFROCENTRIQUE, et DECOLONIAL [5] avec comme référence pour SES HUMANITÉS CLASSIQUES ( avec référence KAMA dont KEMET ).

Bref, cet individu décide de vivre et de se reconnecter avec LE PARADIGME DE SES ANCÊTRES D’AVANT LA COLONISATION DE KEMET ET DE KAMA , portant désormais UNE PENSÉE COGNITIVE HARMONIEUSE – MAATIQUE – : liée aux LOIS DE LA NATURE ou à LA COSMOLOGIE dont à LA COSMOGRAPHIE ; expliquée, partagée et racontée de manière COSMOGONIQUE et COSMOTHEOLOGIQUE ; permettant , pour vivre, de réaliser diverses RÉVOLUTIONS SCIENTIFIQUES & TECHNIQUES et de multiples RÉVOLUTIONS INDUSTRIELLES; et organisant la cité de façon COSMOCRATIQUE.

BREF, LE KAMITE EST UN ÊTRE SPIRITUEL COSMIQUE, SE SACHANT LIÉ ET SE LIANT QUOTIDIENNEMENT AU COSMOS DANS LEQUEL IL VIT HARMONIEUSEMENT…

KAMITE, KAMITISME d’où sa vient  ?

A – 3.200 avant notre ère, L’ÉGYPTE ANCIENNE , appelé – KEMET – par les habitants de cette époque, était UNE CIVILISATION NOIRE, en Afrique, appelée – KAMA

Vers -1650 avant notre ère, KEMET était attaqué par les HYKSÔS, des peuples de la mer, venus du nord. S’agissant des premières agressions de KAMA à L’ÈRE COSMIQUE ( ASTROLOGIQUE ) DU POISSON , CELUI DE LA COMPASSION, ANNONÇANT UNE PÉRIODE DE GUERRE. Puis, comme agresseurs, se succédaient les HITTITES, les GRECS, les ROMAINS, et avec l’arrivée de L’ISLAM, les ARABES et les TURCS.

Toutefois à KAMA, des EMPIRES et des ROYAUMES continuaient à prospérer malgré la descente aux enfers de KEMET …

A partir de 622 ( date de l’Hégire : début de L’ISLAM ) de notre ère jusqu’au 15ème siècle, alors que – KEMET – , devenu – EGYPTE – depuis les GRECS, était sous domination TURCS et ARABES, KAMA demeurait dans sa période IMPÉRIALE, malgré l’arrivée de LA RELIGION MUSULMANE – L’ISLAM à certains endroits du continent ( cfr. Les volumes de l’Histoire de l’Afrique UNESCO ).

Dès le 15ème siècle, LA COLONISATION EUROPÉENNE débutait à KAMA mais aussi en AMÉRIQUE , conduite par LA PAPAUTÉ CATHOLIQUE commencée au 4ème siècle à ROME, en ITALIE. Arguant à travers UNE BULLE PAPALE QUE LE PEUPLE NOIR, N’AYANT PAS D’HUMANITÉ, POUVAIT ÊTRE ESCLAVAGISÉ. Massacrant les NATIFS AMÉRINDIENS et VOLANT LEURS TERRES SACRÉES en AMÉRIQUES, et , en même temps, réduisant les KAMITES à L’ESCLAVAGE en les amenant en AMERIQUE.

Du 15ème siècle au 18ème siècle, LA KAMA IMPÉRIALE , constituée d’EMPIRES, laissait la place à L’EUROPE IMPÉRIALE ( PAPAUTÉ CATHOLIQUE , PORTUGAL, HOLLANDE, ESPAGNE, SUÈDE, ANGLETERRE, FRANCE, … ) .

Au 19ème siècle, les KAMITES esclavagisés décidèrent de ne plus se laisser dominer. Exemple avec TOUSSAINT L’OUVERTURE, DESSALINES JEAN-JACQUES ET LA RÉVOLUTION DE AYITI ( HAÏTI ) menant au 1er janvier 1804 à la REPUBLIQUE D’HAÏTI, état contrôlé par les KAMITES en AMERIQUE.

LE CONSTAT ÉTAIT QUE DEPUIS -1650 AVANT NOTRE ÈRE , KAMA ( ET LES KAMITES ) SUBISSAIT LA GUERRE. CETTE GUERRE AVAIT COMMENCE A KEMET POUR SE RÉPANDRE AU COURS DU TEMPS DANS TOUT KAMA. ET QU’IL FALLAIT SE DÉFENDRE SINON PÉRIR. MAIS COMMENT SE DÉFENDRE ?

En 1822, Jean-François CHAMPOLLION [6] déchiffrait les HIÉROGLYPHES qui s’appelaient MEDU NETJER selon les écrits des anciens Égyptiens. Permettant la naissance de L’ÉGYPTOLOGIE [7] une discipline consistant à reconstituer les savoirs de cette civilisation, en TRADUISANT LES NOMBREUX PAPYRUS ET AUTRES PÉTROGLYPHES ( ÉCRITS SUR LES PIERRES DES PYRAMIDES ) OU AUTRES TRANSCRIPTIONS DANS LES TOMBES DES DÉFUNTS DE KEMET, nom originel de l’ Égypte ancienne.

L’ÉGYPTOLOGIE fit jaillir -KEMET- comme ayant été LA PLUS GRANDE CIVILISATION QUE LE MONDE N’AIT JAMAIS CONNU -. CHAMPOLLION, précisant qu’il s’agissait d’une CIVILISATION NOIRE [8].

TOUT AU LONG DU 19ÈME ET LA MOITIÉ DU 20ÈME SIÈCLE, CETTE INFORMATION VA ÊTRE TUE, CENSURÉE, À CAUSE DE LA COLONISATION, UN CRIME CONTRE L’HUMANITÉ, QUI, ELLE, FAISAIT CROIRE TOTALEMENT LE CONTRAIRE, L’INVERSE, SUR LES -ÊTRES NOIRS -. COMME CELA A ÉTÉ VU PLUS HAUT.

En 1951, à la Sorbonne en France, lorsque CHEIKH ANTA DIOP PRÉSENTA SA THÈSE, AVEC CETTE INFORMATION, le monde NOIR intellectuel, devenu ALIÉNÉ avec LA COLONISATION, était en ébullition, surtout aux USA et en FRANCE.

En 1954, en France, CHEIKH ANTA DIOP [9] sortait – NATIONS NÈGRES ET CULTURE : DE L’ANTIQUITÉ NÈGRE ÉGYPTIENNE AUX PROBLÈMES CULTURELS DE L’AFRIQUE NOIRE D’AUJOURD’HUI -, et aux USA, inspirés par DIOP, GEORGE GRANVILLE MONAH JAMES, publiait – STOLEN LEGACY: GREEK PHILOSOPHY IS STOLEN EGYPTIAN PHILOSOPHY [10].

Fin des années 1950 et 1960, aux USA, ces écrits vont être les sources fondatrices du début du – KEMITISME -, courant élaboré dans les départements d’études sur l’histoire de l’Afrique dans LES UNIVERSITÉS AMERICAINES avec les – AFRICANA STUDIES – ou – BLACK STUDIES[11]. Le – KEMITISME – avait pour base – KEMET.

En 1974, au Colloque du Caïre en Egypte, CHEIKH ANTA DIOP , appuyé par THÉOPHILE OBENGA, rétablissait la vérité de KEMET, aux yeux du monde à l’UNESCO ,en démontrant la véritable identité des égyptiens anciens , des – ÊTRES NOIRES – natifs du continent africain [12].

A partir de ce moment, LE KEMITISME prenait de l’ampleur surtout aux USA [13] et peu à peu en FRANCE. On y trouvait autour de CHEIKH ANTA DIOP et de THÉOPHILE OBENGA [14], des auteurs comme MUBABINGE BILOLO [15], JEAN CHARLES COOVI GOMEZ [16], [17] ALAIN ANSELIN, OMUTUNDE, PIERRE NIELLON, ABOUBACRY MOUSSA LAM, GRÉGOIRE BIYOGO,…

C’EST À CETTE PÉRIODE QUE L’IDÉE D’ENSEIGNER L’HISTOIRE DE L’AFRIQUE À PARTIR DES HUMANITÉS CLASSIQUES AFRICAINES, AVEC UN REGARD PARTICULIER SUR KEMET, NAISSAIT. AVEC ESPÉRANCE QUE DANS TOUS LES PAYS D’AFRIQUE ET DIASPORIQUE NOIR, L’ON ENSEIGNE DÉSORMAIS CETTE HISTOIRE DE MANIÈRE AFROCENTRIQUE ET NON PLUS AVEC UN ACCENT COLONIAL EUROCENTRIQUE.

En 2010, comme acte PANAFRICAIN majeur, le premier monument sur le continent AFRICAIN de la RENAISSANCE AFRICAINE était inauguré à Dakar au Sénégal en mémoire : 1/ des porteurs du courant de la – NÉGRITUDE [18] ; et 2/ de CHEIKH ANTA DIOP.

En 2015, AFRIQUE MEDIA [19], un media PANAFRICAIN créé par un groupe de personnalités PANAFRICANISTES au Cameroun, réalisait une alliance avec LA LIBRAIRIE TAMERY SEMATAWY basée à Paris [20] se présentant comme KAMITE, donnant naissance à une ÉMISSION en 2 saisons, appelées – RENAISSANCE AFRICAINE[21].

Cette émission allait permettre l’émergence rapide du KAMITISME en AFRIQUE et dans le monde DIASPORIQUE AFRICAIN , PANAFRICAIN. S’agissant d’une alliance du PANAFRICANISME et du KAMITISME autour d’une –RENAISSANCE AFRICAINE

Le KAMITISME a débuté aux USA avec les premiers écrits apparaissant vers 1990 avec notamment l’auteur ANUK AUSAR [22]. ANUK AUSAR ( RA UN NEFER AMEN ) avait créé l’organisation Religieuse et Spirituelle – THE AUSAR AUSET SOCIETY – en 1973. Plus tard il y eu une émergence de TEMPLES KAMITES [23]… Pour L’EUROPE, les écrits sur le KAMITISME commençaient à partir de 2008, avec des auteurs tel LU NKUKA LUKA LUSALA [24], OMUTUNDE [25], DOUMDI FAKOLY [26], HEKIMA AKWA et ZAYI GASANDJI [27], [28] SENGÉLÉ, KIMBEMBE NSAKU, , MAWETE MAKISOLILA , KORY SOTEM AZANIE, DIBOMBARI MBOCK, MBOCK BASSONG, JULIETTE SMERALDA etc.

L’émergence du KAMITISME, à travers LES ÉCRITS, LES CONFÉRENCES, LES SITES WEB [29], LES RESEAUX SOCIAUX ET LES MÉDIA INDÉPENDANTS SUR YOUTUBE [30] , faisait que désormais l’ ÊTRE NOIR – KAMITE – devait se reconnecter avec sa spiritualité, sa religion [31],et ses ancêtres.

A L’APPROCHE DE L’ERE DU VERSEAU, UNE ERE D’ABONDANCE ANNONCÉE, GRÂCE AU RETOUR À SES PRATIQUES RELIGIEUSES, SPIRITUELLES ANCESTRALES , AVEC L’- ÊTRE NOIR – KAMITE – , L’ÊTRE NOIR N’A PLUS NI À ÊTRE BOUDDHISTE, CHRÉTIEN, MUSULMAN, JUIF, ETC. CAR IL EST – KAMITE – . DÉSORMAIS, DANS DES LIEUX SPÉCIFIQUES ( BOIS, FORÊTS, MONTAGNES, TEMPLES, AUX ABORDS D’UNE CHUTE, PLAGES, ETC. ), L’– ÊTRE NOIR – SE DOIT D’ APPRENDRE À SE RECONNECTER ET S’HARMONISER AU COSMOS, FORCE FÉCONDANT L’ÉNERGIE DONNANT LA VIE ÉTERNELLE, AUPRÈS DES ANCÊTRES

NOTES :

[1] Burundi / Kama – Guadeloupe : Le Professeur Nioussere Kalala Omotunde est parti – https://burundi-agnews.org/histoire/burundi-kama-guadeloupe-le-professeur-nioussere-kalala-omotunde-est-parti/

[2] Jean Philippe Omontunde, Qu’est ce qu’être kamit(e) ?, ed. Menaibuc, 2010

[3] Mais le mot KaMa est-il originaire de notre continent ? Oui, car depuis l’apparition de l’écriture hiéroglyphique (3400 av. J. C), les anciens Égyptiens se désignaient par le mot KaMtou signifiant Noirs, car ils l’étaient. Par ailleurs, ils utilisaient le mot KaMi ou KeMet (KMT) signifiant Noire, non seulement pour désigner leur terre, mais aussi par extension notre continent. Le mot KaM figure également sur une inscription cananéenne datée du 10ème siècle av. J. C, et désigne notre continent | https://ladepechedabidjan.info/2021/11/20/kama-le-veritable-nom-de-lafrique/

[4] 3.200 avant notre ère

[5]   PANAFRICANISME, KEMITISME, POST-COLONIALISME, KAMITISME, DECOLONIAL :  https://1-jamii.org/wp-content/uploads/2023/01/PANAFRICANISME_KEMITISME_POST-COLONIALISME_KAMITISME_DECOLONIAL.pdf 

[6] Champollion le Jeune, Grammaire égyptienne, éd. Firmin Didot, 1836

[7]

Jean-François Champollion dit Champollion le Jeune ( 1790-1832), égyptologue français

1814 : L’Égypte sous les Pharaons, 1814 [lire en ligne [archive]] ;

1822 : Lettre à M. Dacier relative à l’alphabet des hiéroglyphes phonétiques, 1822 ;

Lettre à M. le rédacteur de la Revue encyclopédique, relative au zodiaque de Dendéra [(pages 232-239) ;

1823 : Panthéon égyptien, collection des personnages mythologiques de l’ancienne Égypte, d’après les monuments, 1823 ;

1824 : Précis du système hiéroglyphique des anciens Égyptiens ;

1826 : Lettres à M. le Duc de Blacas d’Aulps ;

1827 : Notice descriptive des monuments égyptiens du musée Charles X ;

1828 : Précis du système hiéroglyphique des anciens Égyptiens ou Recherches sur les éléments premiers de cette écriture sacrée, sur leurs diverses combinaisons, et sur les rapports de ce système avec les autres méthodes graphiques égyptiennes ;

1828 : Lettres écrites d’Égypte et de Nubie ;

1835-1845 (posthume) : Monuments de l’Égypte et de la Nubie ;

1836 (posthume) : Grammaire égyptienne,;

1841 (posthume) : Dictionnaire égyptien en écriture hiéroglyphique.

Sir Ernest Alfred Thompson Wallis Budge (1857-1934 ) , égyptologue et orientaliste anglais :

Ses ouvrages :

1885 : The Sarcophagus of Anchnesraneferab queen of Ahmes II, king of Egypt about BC 564-526, Whiting, Londres

1894 : The Mummy, University press, Cambridge

1895 : The book of the dead, the papyrus of Ani in the British Museum, Londres

1896 : Some account of the collection of egyptian antiquities in the possession of lady Meux, Harrison, Londres

1893 : The Book of Governors: The Historia Monastica of Thomas, Bishop of Margâ, A. D. 840

1895 : The Book of the Dead: The Papyrus of Ani in the British Museum ; the Egyptian Text with Interlinear Transliteration and Translation, a Running Translation, Introduction, etc., British Museum, Londres

1904 : The Gods of the Egyptians, or, Studies in Egyptian Mythology, Methuen & Co. ltd., Londres

1905 : The Egyptian Heaven and Hell, Kegan Paul, Trench, Trübner & Company, Limited, Londres

1908 : The Book of the Kings of Egypt, or, The Ka, Nebti, Horus, Suten Bȧt, and Rā Names of the Pharaohs with Transliterations, from Menes, the First Dynastic King of Egypt, to the Emperor Decius, with Chapters on the Royal Names, Chronology, etc., Kegan Paul, Trench, Trübner & Company, Limited., Londres

1911 : Osiris and the Egyptian Resurrection, Illustrated after Drawings from Egyptian Papyri and Monuments, P. L. Warner, Londres

1914 : The Literature of the Ancient Egyptians, J.M. Dent and sons, Londres

1920 : An Egyptian Hieroglyphic Dictionary, With an Index of English Words, King List and Geographical List with Index, List of Hieroglyphic Characters, Coptic and Semitic Alphabets, etc., John Murray, Londres

1920 : By Nile and Tigris : a narrative of journeys in Egypt and Mesopotamia on behalf of the British Museum between the years 1886 and 1913., John Murray, Londres, 2 vol.

1923 : Tutankhamen, amenism, atenism and egyptian monotheism with hieroglyphic texts of hymns to Amen and Aten, Londres

1925 : The Mummy: A Handbook of Egyptian Funerary Archaeology, Cambridge University Press

1926 : Cleopatra’s Needles and Other Egyptian Obelisks, The Religious Tract Society, Londres

Alan Henderson Gardiner ( 1879-1963) , Égyptologue anglais

The Reign of Amen-em-hat I, Biblia, 7, 1895

Egyptian Grammar. Being an Introduction to the Study of hieroglyphs

The Admonitions of an Egyptian Sage from a Hieratic Papyrus in Leiden (Pap. Leiden 334 recto), Leipzig, 1909

Notes on the story of Sinuhe, Paris, Librairie Honoré Champion, 1916.

Avec N. de G. Davies, The tomb of Antefoker, vizier of Sesostris I, and of his wife Senet no 60, no 2, The Theban Tombs series, G. Allen & Unwin, Londres, 1920.

Ancient Egyptian Onomastica. Vol. I—III, Londres, 1947.

The Ramesseum papyri, plates, C.Batey, Oxford, 1955.

Avec J. Černý, Hieratic ostraca, 1, Oxford university press, C. Batey, Oxford, 1957.

Egypt of the pharaos, Oxford, 1961 (et posthume 1964).

The admonitions of an Egyptian sage from a hieratic papyrus in Leiden {pap. Leiden 344 recto}, Georg Olms, Hildesheim, (posthume) 1969.

Avec A. Erman et F. Vogelsang, Literarische Texte des Mittleren Reiches, 1, Die Klagen des Bauern, no 4, Hieratische Papyrus aus den königlichen Museen zu Berlin, Z.D.D.R, Leipzig, (posthume) 1970.

Avec A. Erman, Literarische Texte des Mittleren Reiches, 2, Die Erzählung des Sinuhe und die Hirtengeschichte, no 5, Hieratische Papyrus aus den königlichen Museen zu Berlin, Z.D.D.R, Leipzig, (posthume) 1970.

[8] KaMa ( Afrique ) / Diaspora : NoRMaN AJaRi présente son nouveau livre “NOIRCEUR” – https://burundi-agnews.org/histoire/kama-afrique-diaspora-norman-ajari-presente-son-nouveau-livre-noirceur/

[9]

Cheikh-Anta Diop, Nations nègres et culture : De l’antiquité nègre égyptienne aux problèmes culturels de l’Afrique Noire d’aujourd’hui , ed.PRESENCE AFRICAINE, 1954

Cheikh-Anta Diop, L’Unité culturelle de l’Afrique noire: Domaines du patriarcat et du matriarcat dans l’Antiquité classique -, ed.PRESENCE AFRICAINE, 1959

Cheikh-Anta Diop, Les Fondements économiques et culturels d’un État fédéral d’Afrique noire , ed.PRESENCE AFRICAINE, 1960

Cheikh-Anta Diop, Antériorité des civilisations nègres : mythe ou vérité historique ?, ed.PRESENCE AFRICAINE, 1967

Cheikh-Anta Diop, Parenté génétique de l’égyptien pharaonique et des langues négro-africaines , ed. Nouvelles éditions africaines, 1977

Cheikh-Anta Diop, Civilisation ou barbarie. Anthropologie sans complaisance , ed.PRESENCE AFRICAINE, 1981

Cheikh-Anta Diop, L’Afrique noire précoloniale : Etude comparée des systèmes politiques et sociaux de l’Europe et de l’Afrique Noire, de l’Antiquité à la formation des Etats modernes 2e édition , ed.PRESENCE AFRICAINE, 1987

Cheikh-Anta Diop, Alerte sous les tropiques : Articles 1946-1960 Culture et Développement en Afrique noire , ed.PRESENCE AFRICAINE, 1990

[10] George Granville Monah James, Stolen Legacy: Greek Philosophy is Stolen Egyptian Philosophy / Héritage volé: La philosophie grecque est volée de l’Égypte antique, ed. Philosophical Library, 1954 | https://jpanafrican.org/ebooks/eBook%20Stolen%20Legacy.pdf

[11]

Africana Studies :

John Henrik Clarke, William Styron’s Nat Turner: Ten Black Writers Respond ,ed. Beacon Press, 1968 , 120 pages

J. C. Degraft-Johnson, John Henrik Clarke , – African Glory: The Story of Vanished Negro Civilizations – , ed. Black Classic Press, 1985, 211 pages

John Henrik Clarke, Who betrayed the African world revolution? and other speeches, ed. Third World Press, 1995

John Henrik Clarke, Christopher Columbus and the Afrikan Holocaust: Slavery and the Rise of European Capitalism, ed. EWorld, 2000, 112 pages

Black Studies :

Molefi Kete Asante, Ama Mazama, Encyclopedia of Black Sudies, ed. SAGE, 2005, p. 583

Molefi Kete Asante – Associate Professor, Department of Communication and Director, Center for Afro American Studies, UCLA, 1969-73 (Founded the Journal of Black Studies, created the African American Library, and wrote the MA program)

[12] https://www.youtube.com/watch?v=xPS0zIa4VIM | https://www.seneplus.com/seneplus-tv/cheikh-anta-diop-au-colloque-du-caire | http://www.cheikhantadiop.net/compte_rendu_les%2020%20ans%20du%20colloque%20du%20caire.pdf

[13]

Ivan Van Sertima , Africa Presence in Early America, ed. New Brunswick : Transaction Publishers, 1970, Pages 250

Ivan Van Sertima , They Came Before Columbus: The African Presence in Ancient America, ed. Random House, 1976, Pages 330

Ivan Van Sertima , Egypt Revisited, ed. Transaction Publishers, 1983, Pages 160

Ivan Van Sertima, Journal of African civilizations : African Presence in Early Europe, ed. Transaction Books, 1985, Pages

Ivan van Sertima, Great African Thinkers : Cheikh Anta Diop, ed. Transaction Publishers, 1986, Pages 375

Ivan van Sertima, Great Black Leaders: Ancient and Modern,ed. Transaction Publishers, 1988

Ivan van Sertima, Black Women in Antiquity,ed. Transaction Publishers, 1988, Pages 239

Ivan Van Sertima , Blacks in Science: Ancient and Modern, ed. Transaction Publishers, 1991

Ivan Van Sertima , The Golden Age of the Moor, ed. Transaction Publishers, 1992, Pages 474

Ivan Van Sertima , Early America Revisited, ed. Transaction Publishers, 1998, Pages 217

Maulana Karenga, a créé : – en 1965, l’organisation US « Nous » enseignant l’autodétermination des Noirs,

– en 1966, le Kwanzaa, une fête pour les Afro-américains, pour relier les Noirs d’Amérique et d’Afrique

Maulana Karenga , Selections from the Husia: Sacred Wisdom of Ancient Egypt, ed. University of Sankore Press, 1989, 144 pages

Maulana Karenga , Maat, the moral ideal in ancient Egypt: a study in classical African ethics, ed. University of Sankore Press, 2004, 470 pages

Maulana Karenga et Molefi Kete Asante , Handbook of black studies, ed. Sage Publications ,2006, 473 pages

Maulana Karenga , Introduction to Black Studies, ed. University of Sankore Press, 2010, 546 pages

Yosef Alfredo Antonio Ben-Jochannan ( Dr. Ben ), Cultural Genocide in the Black and African Studies Curriculum,ed. Black Classic Press, 1972.

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Dr. Yosef Ben-Jochannan and Dr. John Henrik Clarke, New Dimensions in African History, Africa Research & Publications, 1991, 220 pages

Yosef Alfredo Antonio Ben-Jochannan ( Dr. Ben ),African Origins of Major Western Religions, 1991, 363 pages

Yosef Alfredo Antonio Ben-Jochannan ( Dr. Ben ),We the Black Jews, ed. Black Classic Press, 1993, 408 pages

Yosef Alfredo Antonio Ben-Jochannan ( Dr. Ben ),Africa: Mother of Western Civilization, ed. Black Classic Press, 1997, 750 pages

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Ivan Van Sertima, Runoko Rashidi, – African Presence in Early Asia – , ed.Transaction Publishers, 1985, 224 pages

Runoko Rashidi, Introduction to the Study of African Classical Civilizations, ed. Karnak House, 1991, 220 pages

Runoko Rashidi et Maurice Akingeneye, Histoire millénaire des Africains en Asie : Présence africaine en Asie de l’Antiquité à nos jours, ed. Editions Monde Global, 2005, 210 pages

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Runoko Rashidi, African Star over Asia: The Black Presence in the East , ed. Books of Africa Ltd, 2012, 400 pages

Runoko Rashidi, Cent mille ans de présence africaine en Asie , ed. Dagan Editions, 2012, 332 pages

Runoko Rashidi, Voyages au Sein de la Communauté Africaine Globale, ed. Books of Africa Ltd, 2013, 158 pages

Runoko Rashidi, Uncovering the African Past: The Ivan Van Sertima Papers, ed. Books of Africa Ltd, 2015, 312 pages

Runoko Rashidi, When the World Was Black Part Two: The Untold History of the World’s First Civilizations – Ancient Civilizations, ed. Books of Africa Ltd, 2016, 418 pages

Runoko Rashidi, When the World Was Black, Part One: The Untold History of the World’s First Civilizations Prehistoric Culture, ed. Books of Africa Ltd, 2017, 408 pages

Runoko Rashidi, My Global Journeys in Search of the African Presence, ed. Black Classic Press, 2017, 370 pages

Runoko Rashidi, Assata-Garvey and Me: A Global African Journey for Children, ed. Books of Africa Ltd, 2017, 64 pages

Runoko Rashidi, The Black Image in Antiquity: Beautiful, Royal and Divine, ed. Books of Africa Ltd, 2020, 224 pages

[14]

Théophile Obenga, L’Afrique dans l’Antiquité : Égypte ancienne, Afrique noire, Paris, Présence africaine, 1973.

Théophile Obenga, La philosophie africaine de la période pharaonique : 2780-330 avant notre ère, Paris, L’Harmattan, 1990.

Théophile Obenga, Ancient Egypt and Black Africa: A Student’s Handbook for the Study of Ancient Egypt in Philosophy, Linguistics and Gender Relations, edited by Amon Saba SAAKANA, Londres, Karnak House, 1992.

Théophile Obenga, Origine commune de l’égyptien ancien, du copte et des langues négro-africaines modernes : introduction à la linguistique historique africaine, Paris, L’Harmattan, 1993.

Théophile Obenga, La Géométrie égyptienne : contribution de l’Afrique antique à la mathématique mondiale, Paris, L’Harmattan / Khepera, 1995.

Théophile Obenga, Cheikh Anta Diop, Volney et le Sphinx : contribution de Cheikh Anta Diop à l’historiographie mondiale, Paris, Présence africaine / Khepera, 1996.

Théophile Obenga, Le sens de la lutte contre l’africanisme eurocentriste, Paris, Khepera / L’Harmattan, 2001.

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Théophile Obenga, L’Égypte, la Grèce et l’école d’Alexandrie : histoire interculturelle dans l’Antiquité : aux sources égyptiennes de la philosophie grecque, Paris, Khepera / L’Harmattan, 2005.

[15]

Mubabinge Bilolo, Les cosmo-théologies philosophiques de l’Egypte antique,ed. menaibuc, 1986, 278 pages

Mubabinge Bilolo, Le Créateur et la création dans la pensée Memphite et Amarnienne: approche synoptique du “Document Philosophique de Memphis” et du “Grand Hymne Théologique” d’Echnaton,ed. menaibuc, 1988, 352 pages

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Juliette Smeralda-Amon, La Culture de l’entraide, ed. CONNAISSANCES ET SAVOIRS, 216, 326 pages

[29] Lisapo ya Kama : https://www.lisapoyakama.org/ ; L’association One JAMII, soit 1-JAMII : https://1-jamii.org/ ; ANYJART https://www.anyjart-edition.fr/ etc.

[30] Les émissions de Namer et du Sesh Coovi Rekmire à la librairie tamery sematawy ; Mobali Makasi, a contrario / njel yi / angeli editions / air de battage, anyjart multimedia, 3RNA MAAYA, Pensees kamite , Grandeurnoire, Afrocentricity international, Lascony, Afrochronik ksf etc.

[31] Molefi Kete Asante, Ama Mazama, Encyclopedia of African Religion, ed. SAGE, 2009, p. 897

Nahimana Karolero, Bruxelles (BELGIQUE), Janvier 2023

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